Tu travailles encore ou bien tu fais déjà du coworking

 

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le cube

Télétravailler? À lamaison? Si vous préférez être en société, allez à « Le Cube Coworking» à Montalivet. Environ 15 postes de travail sont à votre disposition, en location à la journée ou au mois. Fibre, café et contacts sociaux inclus. Et le clou, c’est que Le Cube donne sur la plage, avec vue directe sur l’océan Atlantique. Touristes, nomades modernes et employés en télétravail s’y retrouvent pour pratiquer le coworking.

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Un lieu de rencontre

La particularité de „Le Cube coworking“, c’est que c’est un tiers lieu. Le sociologue Ray Oldenburg définit les tiers lieux comme d’importants points de rencontre qui ne sont ni purement privés (premiers lieux), ni purement professionnels (deuxièmes lieux), par exemple des bibliothèques, des parcs ou des cafés-lecture. Ces dernières années, environ 2000 associations ont créé des tiers lieux avec le soutien de l’état. Ce sont des lieux de rencontre et d’échange. Une communauté d’usagers de toutes sortes s’approprie le lieu, développe ses idées en partageant une petite bière le soir, et dynamise par là-même tout l’environnement local.

Le Cube à Montalivet-les-Bains

Au Cube, culture et art font partie intégrante du concept. Les artistes locaux y exposent, il y a des cours de cuisine pour adultes, des cours de dessin pour les enfants et des cours de langue pour les touristes. L’association organise pour ses membres une fête de Noël, apporte son soutien à des projets artistiques, à des associations environnementales et aux projets éducatifs. On peut louer un espace pédagogique pour organiser des ateliers et des rencontres numériques.

Bien plus que le travail !

Pour moi, le coworking est une expérience très positive. Je travaille là sans être dérangée, je peux me concentrer, il y a une salle pour mon cours de langue. Grâce au Cube, j’ai noué des contacts, trouvé des clients et des partenaires de projet. Et en plus, des rencontres faites au Cube se sont transformées en amitiés.

Paula Scholemann (Montalivet), traduction : Jacqueline Tabuteau